La PrestoLecture
Avez-vous déjà souhaité, voire rêvé, pouvoir lire plus vite, tout en comprenant et en retenant ce que vous lisiez ?
Moi oui ! Surtout pendant mes études supérieures où je devais lire plus de 50 ouvrages dans l’année, dont plus des ¾ proprement indigestes ou en tout cas aux antipodes de ce que j’appelle de la lecture plaisir.
Encore aujourd’hui, je lis en moyenne un roman et cinq BD par semaine.
C’est beaucoup moins que quand j’étais étudiant (travail et enfants obligent), mais si je réalise surtout des lectures plaisir, j’étudie encore régulièrement, notamment en ce qui concerne les techniques d’écriture, la documentation et les recherches nécessaires en amont de l’écriture.
De même pour la presse écrite, que ce soit papier ou numérique.
Parcourir des articles divers et variés plus rapidement et efficacement serait vraiment agréable !
Être plus efficace dans sa lecture, pouvoir lire plus d’écrits dans un même laps de temps, mieux les comprendre et mieux les retenir, c’est un objectif réalisable si l’on sait comment s’y préparer et comment progresser.
C’est en cherchant d’éventuelles « recettes », astuces ou encore conseils en la matière que j’ai visionné des vidéos plus ou moins saugrenues ou plates sur le sujet, et lu des articles plus ou moins pertinents.
La plupart manquaient de clarté ou de possibilité d’expérimentation, ou alors demandaient de s’inscrire à un programme onéreux et obscur.
Une vidéo de 20 minutes sur YouTube a retenu mon attention, et je me suis dit que dans le pire des cas, je perdrais 20 minutes. Pas la mer à boire !
Il y est question d’apprendre à lire deux fois plus vite.
Certes, comparé à 10 fois plus vite, c’est peu, mais imaginez un peu…
Ne serait-ce que deux fois plus vite, c’est déjà énorme !
Dans mon cas par exemple, je pourrais lire deux romans par semaine au lieu d’un !
12 romans de plus lus sur l’année ! Un superbe moyen de faire réduire ma PAL, qui garde ses rondeurs malgré tous les régimes que je lui impose.
J’ai été agréablement surpris par la pédagogie de l’intervenante et par la clarté de ses propos. Anne-Aël Gombert propose une approche progressive et précise. On a tout de suite des exemples concrets et des cas pratiques. On peut donc s’exercer et tester la méthode proposée.
Si cette méthode s’applique davantage à de la lecture générale qu’à de la lecture de fiction, elle n’en demeure pas moins un outil intéressant.
Tout fan de fiction que je suis, je lis aussi beaucoup d’écrits généraux, ne serait-ce que la presse et des articles plus « scientifiques », notamment sur l’astrologie, l’astronomie, les magazines municipaux et départementaux, le cinéma, mes passions (aïkido et tir à l’arc en tête), etc.
J’ai demandé l’autorisation à Anne-Aël de mettre la vidéo en lien dans un article sur la PrestoLecture de mon blog. Elle a accepté et a même répondu à quelques questions via une interview.
Peut-être y découvrirez-vous des éléments intéressants pour devenir des lecteurs plus efficaces et plus optimistes à l’idée d’ouvrir un livre qu’il vous faut lire, mais que vous n’avez pas forcément choisi (études par exemple).
Avant de profiter de ces deux interventions, permettez-moi de vous proposer une définition de la PrestoLecture.
La PrestoLecture est une méthode de lecture qui permet de lire deux à dix fois plus vite, tout en retenant autant d’information, voire davantage, qu’avec la méthode de lecture traditionnelle.
Retrouvez cette vidéo, ainsi que d’autres, en suivant ce lien.
Vous pouvez en apprendre plus sur la PrestoLecture sur le site d’Anne-Aël
et la suivre sur Facebook ici.
Vous pouvez également vous inscrire à sa NewsLetter (ce que j’ai fait^^).
Maintenant, je vous invite à découvrir l’interview exclusive d’Anne-Aël Gombert sur le sujet de la PrestoLecture.
Interview d’Anne-Aël Gombert
Bonjour Anne-Aël et merci de te prêter à l’exercice de cette courte interview sur le sujet de la PrestoLecture.
Bonjour Yannick, tout le plaisir est pour moi.
Peux-tu te présenter brièvement, ainsi que la PrestoLecture ?
Je m’appelle Anne-Aël, et je suis formatrice. J’enseigne la PrestoLecture, une méthode de lecture qui permet de lire deux à dix fois plus vite, tout en retenant autant d’information, voire davantage, qu’avec la méthode de lecture traditionnelle.
Je suis passionnée depuis toute petite par la pédagogie et les méthodes d’apprentissage, et j’ai toujours été à l’affût de tous les moyens simples qui donnent de grands résultats… il y a huit ans, j’ai découvert dans un livre l’existence d’une méthode qui permettait d’accélérer sa lecture en la pratiquant complètement différemment : en utilisant les deux hémisphères du cerveau, et même… l’inconscient (!) dans le processus de lecture. J’ai immédiatement été fascinée par cette idée. Je me suis formée sur cette méthode, et à partir de là, je n’ai jamais cessé de l’utiliser.
J’ai compris que j’avais découvert un moyen formidable d’apprendre, au travers de la lecture. J’adorais lire depuis l’enfance, et je lisais beaucoup de romans, mais lire un livre entier de non fiction était très ennuyeux, pour moi. J’étais aussi limitée par le style des auteurs : s’il ne me plaisait pas, je n’arrivais pas à poursuivre. Je n’ai plus rencontré ce problème avec la PrestoLecture. Si j’ai quelque chose à apprendre, je peux aisément faire abstraction du style, et aller chercher toutes les informations qui m’intéressent.
La PrestoLecture m’a aussi permis de préparer toutes les unités d’enseignement accessibles à distance d’un master du CNAM, alors que j’avais un emploi du temps bien chargé : je travaillais à temps plein, je passais toutes mes soirées dans un dojo à pratiquer le sabre ou l’aïkido, et je jouais du violon dans un groupe amateur… il ne me restait que le matin pour travailler mes cours, avant d’aller au travail, et j’ai obtenu de très bons résultats en consacrant 10 fois moins de temps à étudier que ce qui était préconisé !
Il me semblait tellement absurde que personne ne connaisse cette méthode autour de moi que j’ai décidé de l’enseigner. Je me suis donc rendue aux ノtats-Unis, pour me former auprès du créateur du « PhotoReading Whole Mind System » et obtenir le certificat de PhotoReading Instructor. J’ai commencé à l’enseigner à des amis, puis à des consultants avec lesquels je travaillais, et à de plus en plus de monde… j’ai renommé ma méthode PrestoLecture… et de fil en aiguille, j’ai tourné la vidéo « 20 minutes pour lire deux fois plus vite », que tu as trouvée sur YouTube.
Qu’est-ce qui t’a amenée à publier en ligne « 20 minutes pour lire deux fois plus vite » ?
La PrestoLecture est une méthode simple et ludique, mais elle est constituée de plusieurs étapes qui s’imbriquent les unes dans les autres pour obtenir un résultat. Chaque étape, ou sous-étape, étudiée individuellement, peut être très intéressante, mais ne permettra pas nécessairement d’aller plus vite.
Quand je parle de PrestoLecture à quelqu’un, je peux parler de résultats, je peux en exposer les grands principes… mais cela reste toujours un peu flou, car c’est trop différent de ce que la personne en face de moi connaît. Pour clarifier les choses, il faudrait des heures… d’ailleurs, mes formations en présentiel durent trois jours !
Si tu rencontrais un extra-terrestre, d’une espèce moins évoluée que la nôtre, et que tu essayais de lui expliquer comment on fait du vélo… il n’a jamais vu de vélo, il n’a jamais vu de cycliste… tu peux lui expliquer les grands principes, lui faire des schémas… mais il ne comprendra l’art de la bicyclette que lorsqu’il aura enfourché et appris à maîtriser son premier vélo. Cette maîtrise nécessite des explications, peut-être, mais surtout de l’expérience : celle de tomber, de repartir, réajuster sa technique… comment comprendre le vélo sans APPRENDRE à faire du vélo ?
C’est un peu pareil avec la PrestoLecture. On ne comprend véritablement ce que c’est que lorsqu’on l’a pratiqué… or comme YouTube n’autorise pas les vidéos qui durent 48 heures (rires), il a fallu parler de PrestoLecture en trouvant des moyens détournés d’en parler.
J’ai donc décidé de partager des informations utiles et immédiatement actionnables, parce qu’elles donnent des résultats même si elles sont séparées de l’ensemble du système. L’objectif était de faire comprendre aux gens qu’il était possible de lire plus vite, et de leur donner envie d’aller plus loin.
… mais aussi bizarre que cela puisse paraître, j’ai beaucoup attendu avant de publier la vidéo dont on parle, car ce que j’y explique est assez réducteur… c’est un exercice utile et important, que je continue à utiliser régulièrement, mais il s’agit toujours de « lecture ». Il n’y a pas de disruption. On fait presque la même chose, finalement, on le fait juste plus vite. Cela donne de bons résultats en peu de temps, comme tu as pu le constater dans la vidéo. Mais on peut faire mieux : aller encore plus vite, et retenir davantage, ou intégrer l’information d’une façon plus profonde. Cela demande plus de temps d’apprentissage, car il faut complètement changer sa façon de faire.
Cela étant dit, je suis ravie du succès que connaît cette vidéo sur le web, car je ne m’attendais pas à ce que les gens soient si enthousiastes et reconnaissants… et les retours que je reçois m’ont donné vraiment envie de partager davantage. … et en partie sous forme de vidéos, même si ça n’était pas, au départ, mon support de prédilection.
D’après toi, quels sont les avantages d’apprendre à lire plus vite ?
Ouh làlà, il y a de nombreuses manières de répondre à cette question !
Un cadre français passe en moyenne trois heures par jour à lire, dans le cadre de son travail. Je laisse à tes lecteurs le soin de calculer le temps – et l’argent – qu’il est possible de gagner en lisant seulement deux fois plus vite.
Dans certaines professions ou pour certains étudiants, c’est même plus que ça.
J’ai enseigné à l’institut universitaire européen, auprès de doctorants et de chercheurs. On trouve les témoignages des deux français du cours sur ma chaîne YouTube. En première année de doctorat – en économie, si ma mémoire est bonne – les élèves avaient une liste de 200 ouvrages conseillés ! Cela génère un stress énorme, car ils savent qu’ils ne parviendront pas à tout lire !
Sauf en revoyant leur méthode de lecture.
Un autre élément qui peut paraître contre-intuitif, c’est qu’on retient mieux lorsqu’on lit plus vite. Ca n’est pas immédiat, au début c’est plutôt l’inverse… mais la lecture est une activité très séquentielle et très lente, au mot à mot, et si le cerveau s’ennuie, il décroche. Or vous ne retiendrez pas grand-chose si vous êtes ailleurs lorsque vous lisez.
Tu t’imagines regarder un film au ralenti, à raison d’une image par seconde, par exemple ? Je pense que tu n’y comprendrais rien !
Lire de la fiction ou quelque chose de très imagé lentement, ça va, parce que le cerveau construit des images dans notre tête, comme dans un film, et on imagine beaucoup plus que ce qui est écrit.
Pour ce qui est de la non fiction, par contre, on peut parfois avoir l’impression de visionner un documentaire au ralenti. Ça peut être intéressant, sur le moment, mais qu’en retiendra-t-on ?
Est-ce à la portée de tout le monde ?
Oui et non. Il faut au préalable savoir lire de façon traditionnelle, ce n’est pas une méthode d’apprentissage de la lecture (même si on peut en extraire des éléments, comme le font des instits et des parents que j’ai formés).
Ensuite, il faut être prêt à faire différemment, à changer de méthode… et à s’ouvrir à quelque chose de nouveau et d’un peu bizarre 🙂
De très bons lecteurs peuvent encore accélérer et retenir davantage. Même s’ils ont déjà étudié la lecture rapide auparavant.
J’ai aussi formé des personnes qui avaient des difficultés de lecture, ou des formes de dys, comme la dyslexie, qui les perturbaient dans leur lecture… et qui n’ont pas rencontré les mêmes difficultés qu’avec la lecture traditionnelle. L’un d’entre eux – qui était déjà un très bon lecteur, il faut le préciser – m’a contactée quelques mois après sa formation pour me dire qu’il prestolisait 5 livres par jour depuis.
J’ai eu un autre stagiaire qui achetait des bouquins, parce qu’il était fasciné par l’idée de lire, il voulait absolument apprendre ce qu’il y avait dans les livres… mais avait tellement de difficultés de concentration qu’il n’avait jamais fini un chapitre ! Le processus était trop lent et ennuyeux pour lui. La PrestoLecture lui a permis d’aller chercher toutes les informations qu’il souhaitait, et de les retenir, en étant plus à l’écoute de son propre fonctionnement avec l’information.
Que dirais-tu à quelqu’un qui entend parler pour la première fois de la possibilité d’apprendre à lire sensiblement plus vite ?
C’est possible !
…et non (puisque je l’entends souvent), il ne s’agit pas d’aller super vite pour ne rien retenir… ça ne représenterait pas beaucoup d’intérêt.
Dans la vidéo proposée en lien de cet article, tu proposes d’apprendre à lire deux fois plus vite, ce qui amène déjà un changement très sensible. Pour un lecteur comme moi qui absorbe en moyenne un roman et cinq bandes dessinées par semaine, doubler sa vitesse de lecture est très alléchant. Selon toi, jusqu’à quel point est-il possible d’accélérer sa vitesse de lecture ?
Il est difficile de répondre à cette question.
Pour ce qui est de la lecture traditionnelle, mais accélérée, nous sommes assez inégaux. Une fois qu’ils ont compris ce que j’explique dans la vidéo « 20 minutes pour lire deux fois plus vite », la plupart des gens vont devoir s’entraîner régulièrement pour ne pas perdre la main, pour réhabituer leur cerveau à la vitesse, si ils ne lisent pas assez souvent. D’autres comprennent le principe et vont tout de suite beaucoup plus vite. Certains passent sans efforts de 300 à 1000 mots minute… mais c’est très rare.
En PrestoLecture, cela dépend également de la personne… mais aussi de la difficulté, de la longueur, de la technicité du document concerné.
J’annonce que la PrestoLecture permet de lire entre deux et dix fois plus vite… mais certains apprenants, pendant la formation, terminent un livre vingt fois plus rapidement. Je reste très prudente face à de tels résultats, et je préviens toujours ces prestolecteurs qu’ils rencontreront un jour ou l’autre des résultats beaucoup moins extraordinaires, avec d’autres livres.
Nous avons surtout évoqué les points positifs de lire plus rapidement. Y a-t-il des points négatifs ou des contreparties ?
Une prestolectrice que j’ai formée il y a plus d’un an m’a envoyé un email il y a quelques jours, dans lequel elle écrivait: « Je photolis et prestolis avec succès (mais quelle frustration d’acheter un livre à 20 euros, de trouver en 20 minutes l’info cherchée… et de ne plus avoir besoin de lire après! 🙂 ) »
Je la rejoins dans le fait qu’une fois qu’on a fait le tour des bibliothèques municipales et des étagères des amis… ça devient un peu cher, d’être prestolecteur! (rires)
En ce qui concerne la fiction… un des effets de la PrestoLecture est qu’on va automatiquement avoir tendance à lire plus vite, même les romans. On peut également vivre une expérience différente, être beaucoup plus « immergé » dans l’histoire.
… ce qui ne m’empêche pas, lorsque je lis un auteur dont les phrases sont particulièrement délectables, de ralentir volontairement pour prendre le temps de les savourer.
Tu parlais de BD dans une question un peu plus haut… je peux être particulièrement lente, lorsque je lis une BD, car si le dessin est beau… j’ai tendance à m’y attarder pour le contempler !
Il s’agit d’une méthode d’apprentissage dont tout lecteur aurait à gagner (en tête d’ailleurs les étudiants qui doivent lire des dizaines de livres par forcément très passionnants ni très digestes, ou les boulimiques de lecture), aussi suis-je surpris de ne pas en avoir entendu parler à l’école, ni pendant mes études supérieures. Penses-tu que cela pourrait ou devrait faire partie des programmes d’enseignement un jour ?
Ahah ! On me demande parfois pourquoi je ne propose pas mes services dans l’Education Nationale… je pourrais évidemment faire du lobbying, mais ce n’est pas vraiment dans mon tempérament. Je pense que l’Education Nationale est une machine qui évolue lentement. L’innovation, en matière de pédagogie, n’a à ma connaissance jamais été issue du travail d’un ministère.
Pour moi, les véritables changements ne viennent pas d’en haut, mais d’en bas. Lorsqu’une certaine masse critique aura modifié son rapport à la lecture et à l’apprentissage, notamment parmi l’élite intellectuelle, les choses changeront forcément « en haut » également. Peut-être que la PrestoLecture s’intégrera un jour dans les programmes, mais je pense que ça n’est pas pour tout de suite 🙂
Il y a beaucoup de chemin à parcourir avant que la scolarité soit pensée pour créer des êtres humains heureux et épanouis, et capables d’apprendre par eux-mêmes tout au long de leur vie.
… alors j’ai décidé de concentrer mon énergie pour former ceux qui sont intéressés, parmi lesquels se trouvent des parents qui transmettent à leurs enfants, et des instits qui réutilisent des éléments dans leurs classes.
Le jour ou l’Education Nationale voudra venir me chercher, ils sauront où me trouver ! Le ministère de la Justice a déjà sauté le pas, en me demandant d’intervenir pour former des membres de son personnel… l’avenir dictera le reste !
Merci, Anne-Aël, pour cet échange !
Avec plaisir. Merci à toi, Yannick !
Est-ce que je peux me permettre de te raconter une dernière histoire, avant de conclure ?
J’ai expliqué à un de mes neveux, qui s’interrogeait sur mon métier, que j’apprenais à des adultes comment lire plus rapidement que la vitesse à laquelle il avait appris à l’école. Je ne lui ai pas appris à PrestoLire, ni même aucune technique de lecture rapide. Il y a quelques mois, j’ai assisté à une scène fascinante : il a demandé à sortir de table alors que nous terminions un repas de famille, et s’est installé pour lire un roman. Il tournait les pages vraiment vite, il n’était pas possible qu’il subvocalise à la vitesse où il lisait !
Dans les échanges que nous avons eus par email, tu m’as indiqué que tu avais de jeunes enfants. Si je peux me permettre un conseil, n’hésite pas à leur dire qu’il est possible de lire plus vite que la vitesse à laquelle ils lisent en classe à haute voix : lire plus rapidement que la « voix qui lit dans notre tête » (dont je parle dans la vidéo) est une faculté que nous pouvons tous développer. Je suppose que les enfants, qui n’ont pas encore ancré l’habitude de lire lentement, peuvent développer naturellement les ressources qui leur permettent de s’affranchir des barrières qu’en tant qu’adultes nous avons cimentées pendant des années.
Et vous, aviez-vous déjà entendu parler de la PrestoLecture ?